Par Alexandre Gabert
Outre un impact délétère sur la santé, la surconsommation de viande nuit à la biodiversité et au climat. Pour des scientifiques et des associations, il devient urgent de changer nos modes de production et d'alimentation, de favoriser le stockage du carbone afin de limiter les effets du changement climatique. Et si l'avenir de la planète passait par nos assiettes ?
Moins de viande dans les cantines : c’est l’objectif de la mairie de Lyon qui envisage deux à quatre repas végétariens par semaine en 2022. Ce n’est pas une première : d’après le journal Reporterre, l’Association végétarienne de France dénombre plus de 200 villes qui offrent déjà une option végétarienne dans leurs cantines (1). Début février, le Réseau Action Climat abondait dans ce sens en publiant ses recommandations « Moins et Mieux, un élevage et une consommation de produits animaux respectueux de la planète ». Ces appels à réduire notre production et notre consommation de pro
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