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Par Quentin Zinzius
Réduction des émissions, transition écologique pour tous, protection de la biodiversité... et un cap : limiter le réchauffement climatique à +1,5°C. Telles étaient les promesses faites par la COP26, qui s'est terminée dimanche 14 novembre à Glasgow. Et avec deux semaines d'échanges entre dirigeants internationaux, ONG et grands acteurs économiques, tous les éléments étaient réunis pour y parvenir. Mais qu'à cela ne tienne ! La scène écologique mondiale a vu s'enchaîner les performances théâtrales, mêlant promesses de milliardaires philanthropes, discours moralisateurs de dirigeants exemplaires, et greenwashing à peine voilé d'industriels irréprochables. Sans grande surprise donc, l'éléphant a accouché d'une souris : les décisions pour atteindre les objectifs climatiques n'ont pas été prises - ou du moins, dans une mesure très insuffisante. Mais ne soyons pas pessimistes. Après tout, ils sont tombés d'accord sur un point : la situation est dramatique, et il est urgent d'agir. Alors pourquoi attendre demain ?