Nature en ville

Selon les prévisions de l'ONU, les villes abriteront 68 % des 9,5 milliards d’habitants du monde d’ici 2050.

« Mon quartier, c’est partout du bitume », s’attriste Samira Lamouri en arrosant les semis de carottes du jardin collectif qu’elle cultive et supervise depuis se

Né en 2019, le collectif Micro-forêt urbaine a entrepris la plantation de plusieurs micro-forêts en plein centre-ville de Toulouse, à l’aide d’une méthode bien particulière : « La méthode Miyawaki

« La gestion économe de l’espace doit s’envisager comme un objectif de convergence et de cohérence de nos politiques publiques en matière d’énergie, de climat, d’écol

Quel est selon toi le principal argument pour réintroduire la nature en ville ? 

Marguerite : Bonjour et bienvenue aux Conversations.

Construire davantage en hauteur pour éviter l'étalement urbain, n'est-ce pas logique ?

Certains animaux, dits anthropophiles, ont évolué avec les êtres-humains.

Il y avait ici une prairie délaissée pauvre en biodiversité.

Dans une tribune parue fin mai dans l’Obs, à l’occasion de la journée mondiale de la biodiversité, architectes, professeurs d’université ou encore élus, réunis l

7000 signatures récoltées en quatre semaines pour sauver les arbres du parc Montcalm.