L'implication des citoyens dans le ramassage des déchets n'est pas vraiment une nouveauté. Nombre de randonneurs, par exemple, profitent de leurs balades pour prélever ici et là des ordures traînant dans la nature et les replacer où elles doivent être, dans des poubelles. La nouveauté, c'est que les réseaux sociaux s'en mêlent et permettent, notamment en ville, de créer une émulation et de fédérer une véritable communauté.
Reportage dans les rues de Marseille
Un buzz né sur les réseaux sociaux peut-il nettoyer les rues d'une ville comme Marseille, réputée – entre autres – pour sa saleté ? Edmund Platt et son association Un déchet par jour invitent les Marseillais à se prendre en photo ramassant des détritus et à les partager sur Facebook et Instagram… Le selfie peut-il être un remède efficace à la saleté de nos villes ?
